La série théâtrale La Chienlit est un ensemble de spectacles liés entre eux par le même contexte. En fixe ou en déambulatoire, chacun d’eux raconte une histoire dont l’action se déroule dans la même ville pendant une grève des éboueurs. Nous souhaitons créer une expérience théâtrale au cours de laquelle la série et son univers puissent être présentés dans leur intégralité dans un même lieu durant une
Les assauts continus d’animaux nuisibles, la canicule, les vaines tentatives de la mairie pour rétablir l’ordre et les incivilités d’une cité voisine, transforment la ville en fournaise. Un soir, Madame Singer est retrouvée assassinée dans son appartement. L’arme du crime a disparue dans la nature avec dessus les empreintes de certains membres de la résidence.
Feu Mme Singer est le second opus de notre série théâtrale La
Dans une commune périurbaine, les ordures s’accumulent sous un soleil de plomb. Entre réalisme social et comédie burlesque, La Chienlit est une série théâtrale qui raconte, à travers le destin d’habitant d’une résidence et celui d’une équipe municipale en état de siège, comment une ville bascule dans le chaos.
La Chienlit se présente comme une série de spectacles unitaires d’une heure pouvant être vus indépendamment les uns des autres.
Axé
Comment les habitants d’une résidence se retrouvent chez Paul Poupon à une réunion de copropriété sans que personne ne les ait invités et comment finissent-ils par créer une association de riverains en colère pour le désigner président.
Pour un fascisme ludique et sans complexe est le premier opus de notre série théâtrale La Chienlit. Cette série raconte comment une commune sans histoires
5 juin : Graines de rue – St Hilaire de Riez (85)
25 au 27 juin : Festival Viva Cité – Sotteville-lès-Rouen (76)
9 juillet : Espace Bernard-Marie Koltès – Metz (57)
Imaginez un spectacle où acteurs et public se mélangent et se déploient dans toute la ville. Imaginez un spectacle brassant la foule, une déambulation dans l’espace public. Après des mois de consignes
C’est l’histoire de Jean-Claude Barbès, un type bien, en tout cas, qui n’a jamais rien fait de mal, en tout cas, qui ne mérite pas la moitié de tout ce qui va lui arriver. Il a une femme, un fils, un appartement, un banquier, un emploi, des repas en famille avec son beau-frère le samedi, tout va bien. Comment va-t-il se retrouver à la fin de l’histoire en caleçon dans la rue
Comment Paul Poupon finit par accepter le rôle qu’on veut lui voir jouer et comment, pour défendre son intégrité physique, jette-t-il à la société comme on jette un os à ronger, les bases d’une nouvelle religion.
Enterre-moi partout viendra clôturer la série théâtrale La Chienlit. Elle raconte, à travers le destin croisé d’habitants d’une résidence et d’une équipe municipale en état de siège, comment une ville bascule
